Danaë Lynch

De ce coté là, on est un peu tous pareil... On a tous dans la poche une carte d'identité !



-NOM : Lynch (se prononce Linch)
-PRENOM : Danaë (se prononcé Danaé)
-AGE : 20 ans
-ANNEE : 2ème année
-NATIONALITE : Américaine
-ORIGINES : Américaine - Russe


On choisit ses actes, mais pas ce que l'on est...


-HISTOIRE :
Anita était une jeune femme russe, agée de seulement 19 ans au début de cette histoire. Elle vivait à Moscou, mais bien loin des quartiers chics. Elle n'était pas pour autant misérable, non, disons que sa famille avait un peu de mal à joindre les deux bouts en certaines périodes difficiles. Andrew, lui, était un américain de pure souche, agé de 21 ans. Lui au contraire, était habitué au luxe d'une maison proportionellement démesurée, et élevé par une gouvernante, bref, un jeune bourgois dans toute sa splendeur. Il enchainait voyages sur voyages, aimant visiter le monde, pour se remettre à sa place. Il aprenait sur d'autres continents que la vie n'était pas aussi rose que celle qu'il avait toujours connu, et en rentrait un peu plus reconnaissant à chaque fois. Il ne jouait pas de son haut statut et n'étalait pas sa richesse, il l'avait, voilà tout. D'ailleurs, il la devait à ses parents, rien de plus. Tous deux s'étaient mariés sur conseil de leurs parents respectifs, d'abord sans amour mais avec plutôt un bel arrangement. Son père était propriétaire d'une grande chaîne d'entreprises ayant des sièges un peu partout dans le monde, quand à sa ère, une charmante femme sans emploi, servie par tous les domestiques dont elle avait besoin. D'ailleurs, elle n'avait pas besoin de temps de chichis...
C'est lors d'un voyage en Russie que la vie du jeune Andrew bascula. Il fut percuté par une jeune blonde aux yeux hallucinement bleus, qui le heurta de plein fouet en plein coeur de Moscou, où il passait un mois de vacances avec son père. La demoiselle s'escusa de milles escuses avant de prendre la fuite. Son coeur changea à ce moment là, il ne battait plus pareil en lui, bien qu'il ne sut pourquoi. Il ne mangeait plus pareil, ne voyait plus la ville pareil, ni même la vie, ni même l'amour... d'ailleurs, savait-il seulement de quoi il s'agissait ? Durant la semaine qui suivit, il retourna au même endroit tous les jours, dans le seul espoir de la revoir... cette mystérieuse russe si fuyante. Le 8ème jour, alors que tout espoir s'était misérablement envolé, il l'aperçut. Elle prit peur lorsqu'il l'aborda, mais accepta finalement un premier rendez-vous. Il ne s'agissait ni plus ni moins d'un chocolat chaud dans le café d'en face, en bonnes et dues formes. Andy était galant, courtois et parfaitement bien élevé, elle ne craignait pas grand chose avec lui. Elle, c'était Anita Bojaruniec. Elle passa là la meilleure journée de sa vie, et accepta volontiers de le revoir.
Ils vécurent une histoire de vacances pendant les 12 jours qu'il restait à Andrew sur ces terres, puis se brisèrent le coeur en se quittant à l'aéroport. Anita pleurait derrière la vitre en regardant les gens monter dans l'avion, pensant que ces 12 jours de rêve ne serait plus qu'un souvenir pour elle dès que les réacteurs de l'appareil se mettrait en marche... Elle hoquettait toujours en regardant l'avion quand, tout d'un coup, un homme en sortit brusquement, bousculant les voyageurs et les hotesses de l'air sur son passage. Elle le vit courrir sur le béton, sa veste noire flottant derrière lui dans le vent froid de Russie. Non, non il ne voulait pas la quitter. Il resterait dans ce pays qui n'était pas le sien s'il le fallait, mais peu importe, il voulait juste rester avec elle.

Anita et Andrew vécurent à Moscou pendant une dizaine d'années. Entre temps, ils s'étaient mariés, faisant le plus grand bonheur de la famille Bojaruniec, mais le plus grand désespoir des Lynch. Leur bourgissime fils épousait une jeune russe rencontrée dans la rue... Quel horreur pour leur réputation ! C'est donc contre le gré de sa propre famille que Andrew conduisit sa belle à l'hôtel, au centre de l'église de la ville qui les avait réunis quelques mois plus tôt. 3 ans après, il la conduisit avec le même cérémonial dans la clinique la plus proche, pour qu'elle donne naissance à leur unique fille : Danaë. 6 ans après la naissance de leur seul enfant, ils quittèrent la Russie pour retourner en Amérique. Leur vie prit un aspect bien différent et bien plus luxueux, mais Anita ne s'en plaignit jamais. Andrew avait vécu 10 ans à Moscou pour elle -et ne l'avait jamais regretté-, c'était à son tour de faire des efforts. Celle qui eut le plus de mal, ou du moins qui le montra le plus, fut Danaë. L'arracher à sa terre natale déclencha en cette jolie petite fille aux traits de sa mère, un tempéremment de feu. Rien ne lui plaisait, rien ne l'amusait, la seule chose qu'elle commandait pour son anniversaire ou pour noël était un retour en Russie. Elle n'obtint jamais ce cadeau, recevant à la place des tenues trop chères pour qu'elle puisse jouer dans le jardin, des jouets trop précieux pour qu'elle ai le droit de les préter, et un cheval de course tellement réputé qu'elle n'avait même pas le droit de le monter. Il était le sien, mais ne servait qu'à représenter la famille dans divers concours épiques. Cette vie ne lui plaisait pas, et l'enfant de vient capricieuse, mais dans le sens inverse du thème. Au lieu de réclamer monts et merveilles et de ruiner la famille, elle préférait l'inverse. Elle ruinait plutôt leur réputation, en voulant à ses grands-parents d'être si précieux et si autoritaires envers son éducation. S'ils n'avaient pas été là pour remettre dans le droit chemin Andrew -qui devint vice président de la société de son père- Danaë aurait pu avoir le cadeau qu'elle souhaitait. Mais non, ni elle ni Anita ne remirent les pieds en Russie, du moins, pas à ce stade là de l'histoire.

Le jour de ses 15 ans, Danaë décida qu'elle en avait marre de toute cette mascarade, et qu'il était temps qu'elle montre à toute sa famille ce qu'elle voulait vraiment. Elle développa tout d'abord un style vestimentaire qui déplaisait au plus haut point à ses grands parents paternels, puis prévoiya des choses plus... grandes pour elle ! Dans la nuit, elle alla détacher Kenochka, sa jument, et décida de partir avec elle, direction la Russie. Bien entendu, elle n'atteint jamais la frontière du continent américain, se faisant arréter dans la ville voisine de la sienne, reçu des semaines de punitions et cru perdre ses timpens tant on lui cria dessus. Son caractère se développait, elle ne supportait plus d'être une petite fille modèle comme l'avait été son père, elle voulait être une jeune fille indépendante comme l'avait été sa mère. La seule différence, c'est que sa mère était douce et délicate, et que Dana voulait être le contraire. Ses parents l'envoyèrent passer ses années de lycée dans un pensionnat prèt de New York, un endroit bien snobinard et bien strict. Elle n'avait pas eut le droit d'emporter avec elle ses docs-martens, signe visible de sa rebellion contre la bourgeoisie et la classe, et devait à la place porter un uniforme atroce. Une chemise blanche parfaitement repassée, des mocassins noirs cirés à la perfection, et une jupe bleue marine dont les plis étaient hallucinement droits. Les premiers temps, Danaë n'en fit qu'à sa tête dans cette école et manqua à plusieurs reprises de se faire renvoyer... Elle laissa tomber tout ça, au moment où elle comprit qu'elle ne serait jamais virée : sa famille payait trop cher pour son internat ici, pour que la direction ne prenne le risque de se séparer de tant de fonds.

Pour la récompenser de sa parfaite attitude de sa dernière année de lycée, son père Andrew laissa de coté les désapprobations de ses parents, et amena sa petite famille en Russie. Danaë, Anita et Andrew vécurent ici les meilleures vacances de toute leur vie, dans la simplicité et la joie. Ils couraient après les pigeons sur la place publique de Moscou où ses parents s'étaient foncés dessus quelques 20 ans plutôt, ils se gavaient de vodka le soir et chantonnait des airs mi russes mi anglophones au milieu des fines ruelles russes. Les meilleurs moments de toute sa vie. Mais la jeune demoiselle ne savait toujours pas encore se qu'elle ferait l'année prochaine. Elle rejoindrait bien évidemment une université, mais laquelle ? Elle n'avait aucune ambition particulière, mais elle avait les notes qui lui suffiraient à entrer là où elle le souhaiterait.

Cette rue était particulière, vraiment. Cette place de Moscou avait été choisie pour influencer la vie des Lynch, vraiment. C'était ici que ses parents s'étaient rencontrés, et c'est ici que le déclic de son avenir se fit ressentir en elle. Un beau matin, alors qu'elle allait acheter des viennoiseries traditionnelles dans la boulangerie, un jeune garçonnet se fit renverser de son petit vélo fébrile, et s'étala à même le sol, dans un état des plus misérables. Tout d'abord, il saignait. Ensuite, il criait de douleur, et restait là, étendu à même le béton. Pour finir, sa respiration ne se fit plus sentir. Il était trop tôt pour que la rue soit animée. Si personne ne bougeait, il allait mourrir ! Sans comprendre ce qui lui arrivait, Dana, alors agée de presque 18 ans, se précipita à ses cotés et exécuta les gestes appris pendant un cours de sauvetage. Devant le regard curieux de quelques commerçants, la jeune américano-russe parvint à sauver cet enfant. Clic, le déclic ! Elle travaillerait dans la médecine, et sauverait d'autres vies.

-RESUME : LIBERTE. Voici le mot qui résumerait à merveille sa première année ici. Danaë s'est retrouvé libre comme l'air, indépendante ! Loin de son lycée privé et catholique, et loin de ses grands parents semi-dictateurs. Le rêve. Même si Miss Lynch ne connaissait personne au départ, les autres bourges de son établissement ayant choisis Harvard, Yale ou Princeton, la demoiselle s'en est très bien sortie. Elle ne s'est pas trouvé de grande amie avec qui elle serait comme les deux doigts de la main (d'ailleurs, une main n'a-t-elle pas 5 doigts en temps normal ?), mais a rapidement trouvé une toute autre personne tout aussi importante que les doigts d'une main. Tous deux formèrent un couple d'inséparable, vous savez, ces petits oiseaux qui ne se quittent pas. Lui, c'est Max Daniels (alias le beau Jared Leto), et il a complètement fait chavirer le coeur de l'adolescente. Une histoire parfaite, une osmose idéale, une divine idylle. 7 mois d'amour tendre et sincère. Mais Max avait un caractère presque aussi fort que celui de Dana, alors imaginez... des disputes très fréquentes, des engueulades interminables et quelques affaires lancées avec force plusieurs fois au cours de leur liaison. Jusqu'au jour où la casse ne fut pas celle d'un téléphone portable ni d'un cadre a photo, mais celle d'un coeur, celui de Naë. La dispute de trop, celle qui fait qu'aucune des deux parties ne veut revenir, et celle qui se laisse emporter par le temps. Une séparation plutôt officieuse qu'officielle. Une simple absence prolongée. Ils se saluent lorsqu'ils se voient et discutent courtoisement... de brèves paroles polies, et un froid pesant et opressant. Danaë l'aime toujours, toujours, toujours, malgré les 4 mois qui se sont écoulés depuis ce fameux soir où il partait en claquant la porte de sa chambre d'étudiante. Elle l'avait poussé à bout de nerfs... ils sont aussi coupables l'un que l'autre.
Si Max l'aime encore ? Demandez-le lui lorsqu'il s'inscrira

Aujourd'hui, elle entame sa deuxième année, et compte se préoccuper d'avantage de ses études. Même sans travailler d'arrache-pied, elle s'en tire plutôt bien, alors imaginez qu'elle se mette au travail rude et dure qu'elle était déjà censé faire l'an passé... elle va exceller. Elle veut exceller !


-Particularités de ton personnage : Elle est tellement particulière à elle seule, que ne citer qu'un élément serait difficile
-Souhait : Devenir chirurgiene


OK, ça n'a plus rien à voir avec ton personnage, mais ça nous intéresse quand même...

-Célébrité Prise : Kirsten Dunst
-Comment as-tu connu le forum ? Qu'elle question... Je l'ai créé tiens donc !
-As-tu lu le règlement ? Vaut mieux, oui
-Autre chose à préciser ? Admin

-CARACTERE : Comme vous l'aurez compris en lisant l'histoire, Danaë a une personnalité bien trempé, et donc un caractère qui l'est tout autant. Selon certains, elle a un caractère de cochon ; selon d'autres, elle a juste un fort temperemment. Selon elle ? Elle est comme elle, et si ça ne vous plait pas : tracez vote chemin.
Danaë est imprudente et en plus de ça, elle est entreprenante et casse-cou. Elle va de l'avant, tente les choses qu'il faut tenter et teste les choses qu'elle n'a pas encore expérimenté. Elle fait tout cela sur un coup de tête, sans réfléchir aux consequences. Elle est donc impulsive aussi, dans ses actes et parfois dans ses propos, où elle n'arrive pas à se tempérer. Elle aime avoir le dernier mot, et sa part de fierté lui empèche généralement de faire le premier pas vers l'autre. Elle pousse aussi Danaë a tenter les extrèmes, à relever les defis et missions sans oser dire non, et à tenir tête même si elle a tord... quoique, de ce coté là, elle apprend à s'améliorer depuis qu'un des professeurs le lui a amèrement fait remarquer : "Quand même, je connais mieux mon travail que vous mademoiselle, de ça vous pouvez en être sûre !" Hum !
Et si nous passions à ses qualités ? Car oui, elle en a quelques unes tout de même. Premièrement, elle est naturelle, de par sa façon de parler, sa façon de se vetir ou aussi de se comporter. Elle n'aime pas les stéréotypes, les clones ou les moules, et préfère de loin rester celle qu'elle est. D'ailleurs, elle recherche à être unique, elle cherche à se différencier, c'est un besoin pour elle. Elle a tellement voulu sortir des critères de sa famille, que son comportement dépasse ce cercle fermé pour s'étendre au monde : être différente du monde.
En plus d'être naturelle, elle est aussi spontanée et agit sur le coup, sans se poser trente six milles questions. Elle est aussi agréable, sympathique et drôle. On aime généralement s'entourer d'elle, puisqu'elle aime les rires, les discussions, les soirées entre potes... Elle est épanouïe et souriante ; généralement, les gens ont envie d'aller vers elle, et elle aime aussi aller vers les gens, puisqu'elle est sociable, solidaire ainsi qu'extraverti. Oh oui, extraverti. Certains la qualifieraient même d'hystériques, mais ne vous a-t-on jamais dit de vous fier à votre avis et de ne pas écouter les autres ? Danaë suit ce conseil à la lettre et aime pouvoir juger les gens par elle même. Elle n'aime pas vraiment participer aux ragots, non, elle ferait une mauvaise Gossip Girl -même si elle adore lire cette saga - A l'inverse, bien sûr, elle aime qu'on la juge par soi même et non pas en écoutant les avis des autres... de toute façon, ceux qui ne souhaiteraient pas tenter de la connaitre louperait quelque chose Il louperait une bonne amie, à l'écoute, fidèle et conseillère. Il louperait une grande gueule amusante et libérée, ainsi qu'une camarade intelligente et réfléchie.

-Principal défaut + anecdote : Oups, son principal défaut demandez-vous ? Il n'est pas très gloriaux, puisqu'il en rappelle immédiatement deux autres. Il rapelle le mot Irresponsable, et le mot stupide... En fait, son principal défaut, c'est l'imprudence. Miss Lynch n'est pas prudente, mais alors pas du tout. Elle l'avoue en riant : cela lui passe par dessus la tête ! Les anecdotes sont courantes : elle traverse la route sans regarder ni à droite ni à gauche, elle discute avec les gens, même s'ils ont des looks douteux et qu'elle est la seule fille à un kilomètre à la ronde... bref, ce genre de chose qui aurait pu la tuer une bonne dizaine de fois. En fait, ça n'a failli le faire qu'une fois. Un pari débile, dans un collège qui l'insupportait. On la taquinait, la plupart du temps elle s'en fichait, même cete fois-ci elle en eut marre.
"J'te paris que t'arrives même pas à marcher sur le toit les yeux bandés..."
"Ah ouai ? Regardes bien..."
Elle monta sur le toit, noura un ruban noir derrière ses yeux et entreprit ce voyage. Elle n'avait même pas pensé aux risques, elle n'avait pas pensé à la mousse qui se trouvait sur l'arrête du toit, ni au fait que le vent soufflait plus fort là haut, ni même le fait que certaines tuiles puissent être bancales... non, rien. Le "sois prudente" lancé par son amie quelques secondes plus tôt entra par une oreille et ressortit immédiatement par la seconde. Avec sureté et une allegresse qu'elle se pensait avoir, elle entama sa traversée.
"Aaaaaaaaaaaaaaaaaah.... CRAC ! BOUM !"
Miss Lynch aurait du faire plus attention, être plus prudente et modérer son élan. Elle aurait aussi bien pu laisser sa fierté de coté... mais là n'est pas son principal défaut : la fierté c'est le second, le premier c'est l'imprudence.

-Principale qualité + anecdote : Mademoiselle Lynch est naturelle, voici sa plus grande qualité. Je ne sous-entend pas par là qu'elle ne se maquille jamais ni ne soigne un minimum son physique, non, je parle surtout ici du caractère. Dana est naturelle et spontanée. Elle ne joue aucun jeu envers les autres et reste elle même, aussi simple qu'elle puisse être. Et puis, si elle ne plait pas telle qu'elle est... qu'importe, c'est que les autres n'en valent pas la peine. Une petite anecdote à ce sujet ? Naë était à NYC dans le bar d'un hôtel assez réputé, assise seule au comptoir pendant que sa meilleure aie draguait un homme d'une petite quaraintaine d'année à quelques mètres de là. Soudain, un homme s'installe à ses cotés et commence à la draguer... Cet homme, qui était-il ? Tout simplement un chanteur pop -et populaire- du moment, bien réputé pour aimer les filles coquettes, faciles, passionnées de danse et aimant le luxe. Malgré ses beaux yeux -très très beaux- et le fait qu'elle se serrait bien vu à son bras un moment, aussi court fut-il... eh bien, non ! Elle n'aime pas la danse, elle n'est pas spécialement coquette, elle déteste le luxe et n'écoute même pas de pop ! Pourquoi s faire passer pour cette fille-là, celle qu'il cherche pour sa nuit, alors qu'elle ne l'était pas ? Elle lui a sortit un joli discour moralisateur sur l'abus de luxe, a critiqué sa musique en l'assimilant aux vagues sons qui font se déhancher les minettes en boîtes de nuit, puis l'a laissé payer le verre qu'il avait commandé pour elle.


-PHYSIQUE : Le physique... une chose importante chez certain -voire même vitale- et secondaire pour d'autres. Au cas où vous feriez partie de la première catégorie -en espérant que vous ne correspondiez pas aux gens cités entre tirets-, je vais vous décrire Danaë Lynch. Fermez les yeux (enfin, pas en entier, pour pouvoir continuer à lire ) et imaginez vous une belle et grande blonde, plentureuse, avec des lèvres pulpeuses et une poitrine prohéminente... Vous la voyez ? Eh bien, ça n'est pas Danaë ! Enlevez la pulpe, la plenture, la poitrine... et diminuez un peu les talons de cette asperge. Là : vous êtes sur la bonne voix.

Quand on la voit de loin, on la reconnait sur le champs, du moins si on a déjà prit une seconde pour la regarder. Dana a une façon unique de marcher, sa façon à elle. On voit ses cheveux blonds, frolant presque le platine selon ses envies, voler derrière ses fines épaules pâles. On remarque pas mal de couleur noire, contrastant à merveille avec toute sa paleur. La paleur de sa peau, de ses cheveux, et si jamais on la voit de prêt : la paleur de ses yeux. Dany tient de sa mère, beaucoup. Elle a prit ses cheveux blonds, ses yeux bleus, sa peau claire et ses dents bisconues et enfantines. Elle a prit de son père son sourire, son nez, ses oreilles et ses pieds, à quelques exeptions prêt. Revenons-en sur ses cheveux. Ils sont inévitablement blonds, d'un blond très blond naturellement, bien qu'elle le nuance parfois. Elle a même été rousse à plusieurs reprises. Actuellement, sa crinière est plutôt longue, arrivant au niveau de sa poitrine. Elle n'est pas une fan du brushing et les laisse vaguer à leur guise. Ils forment donc quelques vagues ondulations, terminés par de longs centimètres raides... enfin bref, ils n'en font qu'à leur tête. Elle ne les coiffe pas beaucoup et préfère de loin les garder détachés, encadrant son visage mutin. Son visage est unique lui aussi, tout comme sa silhouette. Il est légèrement arrondi, soutenu par deux joues réhaussées par ses pomettes. Typique slave, les pomettes réhaussées. Ses traits sont relativement fins et bien dessinés. Elle est jolie, on ne peut pas le nier, mais possède une beauté très spéciale. Elle est belle si on regarde le tout, tout son visage, son sourire, son charme... mais si l'on prend chaque élément un à un, on obtient pas le même compte à la fin. Elle a des yeux bizzares, qui penchent un peu. Mais ils restent magnifiques tout de même, puisque d'un bleu gris hallucinant, et d'une joie flagrante. Elle a une bouche fine mais bien dessinée... gachée par des dents tordues, dont une rappelant parfois celle d'un vampire. Mais même ses dents font partie de son charme. Elles donnent à son sourire ce coté... si particulier. Un sourire parfois en coin, mais dans tous les cas sincères et spontanés.

Descendons un peu de son visage, et fixons nous sur une vue plus globale, mais rapprochée tout de même. Danaë n'est pas immense, mais n'est pas naine non plus. Elle mesure pour ainsi dire un mètre soixante onze (1m71), et ceci sans talons. Les talons, elle naime pas ça ! ça fait mal pour rien, ça fai du bruit pour rien... ça ne sert donc à rien. Niveau poid, elle pèse environ 55 kilos, soit un poid banal et anodin. Elle parait fine et mince, elle l'est quand on la voit habillée, mais n'a pas une taille de mannequin, du moins pas si on la voit en maillot. Il y a certaines personnes magnifiques en sous-vêtements, et d'autres qui ressortent bien mieux habillées. Dany fait partie de cette seconde catégorie. Elle est magnifique lorsqu'elle est habillée : fine, élancée, elle porte bien les tenues grâce à ses jolies hanches où à ses fines épaules osseuses qui font ressortir des vestes qui paraissent anodines sur d'autres. Mais en sous-vêtements, elle est très quelconque. Déjà, elle ne porte pas de sous-vêtements spécialement sexy ou chatoyants, mais privilégie le confort. Et puis, niveau poitrine... elle n'est pas très gatée, et s'en fiche royalement. Hey ho, on est en médecine là, pas en concours de beauté. Elle a donc besoin de cerveau et non pas de sillicone, et d'ailleurs, on apprend en cours que la poitrine sert tout d'abord à l'allaitement, et non pas à plaire aux jeunes hommes... Hein !
Niveau vestimentair, Danaë aime donc le noir, bien plus que les couleurs. Elle rafolle aussi du gris ou du marron, puis aime beaucoup le rouge... en tout cas, elle ne porte que très peu de blanc, et pour cause : elle ressemblerait à un navet. Elle est tellement pâle que le blanc lui donne un teint cadavérique. S'ajoutent à cela ses cheveux aussi clairs que ceux des bébés, et ses yeux aussi transparents que... que... hum. Non, pas de blanc. Niveau forme, elle ose tout et n'importe quoi, portant aussi bien jupes, que robes, que jean... elle a un style bien à elle, ex-punk qui s'est calmée, ex-fille d'école privée qui se libère, et jeune femme fa de vintage et rétro... Elle est donc féminine, mais tout en gardant classe, décontracté et plaisir. Les tenues sexy à la mode ? Même pas en rêve ! Elle ne supporte pas d'être une clone des autres, et dieu sait qu'elle l'a été avec son uniforme de lycée privé :S